The Late Great Whatever
The Lovely Bad Things
2013
76
- Hear or Anywhere
- Fried Eyes
- Maybe I Know
- Kessel Run
- Gravel Dreamer
- North Bend
- Darth Lauren
- Rope Swing
- Randell the Savage
- Oozin It
- Honeycomb Cocoon
- Styx and Branches
Du bon punk-pop indé californien, assez surf-rock et power pop dans les influences et le son. Il y a une chanteuse et un chanteur, c'est cool. C'est leur unique album. Je l'ai découvert en 2014 sur la radio SomaFM, ça m'a porté une partie de mon été 2014, aux côtés des Pains Of etc. J'ai le souvenir de ranger le local sono du foyer de mon école d'ingé à la rentrée avec cet album. C'est très plaisant de revenir dessus 8 ans plus tard, c'est assez qualitatif.
J'ai relu sur Wikipedia que les membres changeaient d'instruments entre chaque morceau sur scène, je trouve ça assez cool.
L'album a une pâte sonore assez particulière, avec peu de graves, pas mal de reverbs, et des médiums mis en avant.
La première chanson est bien chouette et pleine d'énergie. Il y a un drôle de son dans le fond vers 2:20, il m'a toujours surpris, c'est sûrement du bruit pas voulu dans la prise.
Fried Eyes sonne un peu comme leur tube. Maybe I Know est chouette aussi.
Gravel Dreamer a un riff qui tue dès l'intro, j'aime bien l'arrivée de la basse qui apporte tout le contexte dont le riff a besoin.
Oozin It est mémorable aussi.
Au final j'ai été marqué par une moitié des chansons environ.