The Big Roar
The Joy Formidable
2011
73
- The Everchanging Spectrum of a Lie
- The Magnifying Glass
- I Don't Want to See You Like This
- Austere
- A Heavy Abacus
- Whirring
- Buoy
- Maruyama
- Cradle
- Llaw = Wall
- Chapter 2
- The Greatest Light Is the Greatest Shade
Un honnête premier vrai album d'un trio gallois d'indie-rock qui tabasse pas mal tout en intégrant des synthés et un côté pop. C'est un peu dans la veine de The Naked And Famous (qui a son sorti son premier album un an plus tôt) en plus bourrin.
C'est Rich Costey qui produit, on pouvait pas trouver un meilleur nom pour ce style de musique. La production est assez rentre-dedans, avec une batterie bien rock et des gros murs de guitare. L'ensemble peut presque sembler brouillon parfois (ma version mp3 que j'écoutais à l'époque accentue ce côté malheureusement).
J'ai découvert ça en début 2016, j'ai surtout accroché aux gros tubes de l'album, comme A Heavy Abacus, Whirring (efficace mais qui a curieusement un moment instru très long) et surtout Cradle, la plus péchue du lot. Je me souviens sauter sur place sur ma chaise en écoutant cette chanson, en particulier au moment instru à 1:30, je continue de kiffer ça à chaque écoute. J'aime beaucoup ces accords sucrés qui sont le fondement de la plupart des chansons des albums.
Le reste des chansons n'est pas vraiment mémorable, mais forme une bonne dose d'indie rock 2010s.