hugeband, overprod, aussie, pitchfork
La production est immédiatement compressée et saturée, très appuyée pour du Nick Cave. Ca fait sûrement pleinement partie de la volonté de générosité de l’album, mais j’avoue ne pas trop accrocher à cette esthétique, un peu plus de douceur et de naturel aurait mieux servi l’œuvre. Sur des balades comme Long Dark Night on entend la compression écraser chaque brin de dynamique.
J'aime beaucoup la vibe à la fois douce et épique de Frogs.
Joy est classique du groupe, avec ces gros chœurs au son unique.
La fin de Conversion a beaucoup à donner.
Un bon kiff la balade pop rock O Wow O Wow (How Wonderful She Is) en I IV II IV et son final en voix de téléphone, ça fait si 90s. J’ose écrire que ça me rappelle des grosses chansons d’Oasis.