17 ans plus tard, j'écoute enfin ce supergroup que j'ai eu dans mon radar par la participation de Fabrizio Moretti, batteur des Strokes. C'était trop indie pop pour moi à l'époque, et j'ai revu l'album passer parmi les fans des Strokes en quête de pilules.
Et bien c'est une petite pépite, des chansons super sweet et une production très feutrée qui match sa pochette douce et sombre.
La première moitié, majoritairement composée par Moretti, me convainc plus.