De la synth pop intimiste un peu chelou, recommandée par un pote qui est allé le voir en concert.
Ce côté chansons simples et personnelles m’évoque Jay Reatard (en beaucoup plus doux et électronique), et la production et les voix sombres m’évoquent Ariel Pink, drôle de cocktail. En même temps John Maus a été coloc d'Ariel, et donc aussi un précurseur du mouvement hypnagogic pop.
Très surprenante cette fin abrupte de The Crucifix.
Les meilleurs morceaux sont le premier et le dernier.