Le 2e album de la trilogie berlinoise de Bowie, qui suit la même structure que son prédécesseur Low avec une face A de morceaux chantés qui bougent et une face B surtout instrumentale.
Et écouter cet album me donne enfin l’occasion d’écrire à propos du morceau titre qui a été mon introduction à Bowie à 20 ans. Je me souviens l’avoir écouté facilement 20 fois en 24h, dont un mercredi matin à sécher mes cours en amphi. On se marrait avec mes potes sur les paroles. J’avoue que je me suis presque saoulé de ce morceau à l’époque et il ne me fait plus le même effet, mais ça reste une réussite totale.
Blackout est bien marrante, j’aime ce genre de morceau fun et Bowie sait bien les faire.
Cette ambiance sur Sense of Doubt.
La pochette est une référence à un tableau, la même que sur The Idiot de Iggy Pop.