Je m'attaque enfin à Björk avec cet album tant célébré, souvent considéré comme son meilleur et un des meilleurs de la décennie. Et bien ça met une claque dès le premier morceau. Le niveau musical s’élève à hauteur de Radiohead.
L’album est plutôt sur la fin de la période connue et célébrée de Björk. Elle a orienté son art pop vers de l'electronica et du minimalisme (relatif).
La production est sublime. Les chœurs déchirent, les arrangements viennent d’une autre planète, notamment ces agencements de synthés qui tachent, de celesta, de cordes et de harpe.
Quelle performance vocale sur Pagan Poetry.
Unison apporte une conclusion épique, ouverte et mémorable. Quel gimmick attachant au synthé.